Et si l’Univers n’avait pas de commencement ?

Les astrophysiciens pensent que l’Univers n’a pas de commencement. Le chercheur Bruno Bento tente de démontrer cette théorie. D’ailleurs, cette hypothèse remet-elle en cause ce que nous imaginons de l’évolution de l’Univers ?

L’Univers avant le « Big Bang »

Certains scientifiques pensent que le Big Bang n’est peut-être pas le début de l’univers, mais un autre événement dans la galaxie qui a toujours existé. Par conséquent, les cosmologistes ont récemment donné deux théories différentes sur ce sujet : le modèle pré-big bang et le modèle chaud, de quelle manière peut expliquer l’univers avant le big bang. D’autre part, ils ont toujours trouvé qu’au début de l’univers était dans une si petite zone que même les lois de la physique quantique peuvent être appliquées, donc cette théorie est abandonnée dans le phénomène Big Bang. .

Ce thème a été repris par le désir des scientifiques de prouver ce qui aurait pu se passer avant le début de l’univers. Par conséquent, ils essaient de remonter au « début », car si l’univers peut naître, il doit avoir existé bien avant que la racine ne soit trouvée. Cette question a d’ailleurs fait l’objet d’un débat engagé bien avant notre ère. Saint Augustin a soutenu: « Dieu est en dehors de l’espace et du temps et est capable de les créer comme il crée d’autres parties du monde. Que faisait Dieu avant que le monde ne soit créé? » »

L’influence de la matière

A en croire certains cosmologistes, l’espace et le temps ne sont pas rigides mais plutôt déformés par les matières car dans un espace-temps différent, l’espace se courbe et s’étend. Au cours de ce processus, il emporte avec lui de la matière. D’ailleurs, vers les années 1920, Edwin Hubble confirma que notre Univers est en expansion et que les galaxies s’éloignent les unes des autres. Il a aussi démontré que ce phénomène ne peut s’étendre indéfiniment, car elles se rejoignent en un point infinitésimal, que l’on traduit par « la singularité ». En revanche, cette affirmation n’est pas compatible avec la théorie selon laquelle l’Univers apparait homogène.

L’observation de l’Univers antérieur

Les scientifiques ont donc laissé les lois des mathématiques pour se concentrer sur les scénarios pré-Big Bang et ekpyrotique, car d’après eux, même si les deux phénomènes partagent des traits communs, ils démontrent différents scénarios de commencement de l’Univers. Pour la phase de pré-Big Bang, la matière est faible et le dilaton gagne progressivement en intensité. Tandis que dans le scénario ekpyrotique, la collision se produit lorsque l’intensité des forces est faible. D’ailleurs, ces deux modèles évoquent davantage les forces métaphysiques sans qui elles ne donnent lieu à aucune collision homogène.

Le déroulement du « commencement »

Les deux modèles montrent une certaine distribution angulaire des fluctuations et leurs amplitudes et leur taille constante peuvent être observées. Alors que d’autre part on voit les pics du modèle inflationniste, alors que dans ce cas la courbure de l’espace-temps change progressivement, ce qui provoque des fluctuations d’amplitude variable. En conséquence, la courbure de l’espace-temps change rapidement, ce qui accélère l’amplitude des changements. Cependant, ce phénomène est compensé par d’autres processus, comme la réduction des incendies causée par des changements dans l’ampleur des changements.

Et si l’Univers continue de se créer ?

Les scénarios montrent que les ondes gravitationnelles contribuent aux fluctuations de température et que certaines ondes laissent une signature dans le fond cosmique. De plus, le satellite Planck de l’Agence spatiale européenne affirme avoir détecté l’une de ces signatures. De plus, l’analyse du fond cosmique n’est pas le seul moyen de tester ces théories. Des scientifiques ont montré que grâce à un détecteur d’ondes gravitationnelles, ils pouvaient prédire l’intensité de certaines fluctuations dans la galaxie, l’un de ces appareils est « VIRGO ».

 

Cependant, cette théorie implique l’existence des dilatons dans l’espace-temps et des fluctuations magnétiques à grande échelle. Les théoriciens montrent donc qu’il est possible de découvrir ces vestiges de fluctuations dans les champs galactiques pour déterminer à quel moment l’Univers s’est créé et avancer la théorie selon laquelle le commencement de la galaxie se répète lorsque les matières arrivent à un état d’intensité voulu.